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À l’inverse de ses congénères autour d’elle, cette petite bille de polyméthacrylate de méthyle (PMMA) - sorte de verre organique à l’instar du Plexiglas - d’environ un micromètre de diamètre n’a pas réussi son test d’agent porogène : défectueuse, elle s’est affaissée sur elle-même. Ici, les scientifiques testent de nouveaux matériaux filtrants à base de céramique pour retenir les particules de corrosion qui se déposent, avec le temps, sur les parois des réacteurs nucléaires à eau pressurisée. Chauffées à près de 1000°C, les billes de PMMA viennent trouer la céramique ; à la manière d’une éponge, cette membrane à la porosité contrôlée va alors stopper les produits de corrosion qui se détachent en les emprisonnant dans les cavités formées par les billes !

Auteur

Bertrand Rebière, Institut Charles Gerhardt Montpellier

Technique utilisée

Microscopie électronique à balayage

Taille

Diamètre des billes entre 0,3 et 1,5 microns

Domaine

Physico-chimie des matériaux

Crédits

B. Rebière, Institut Charles Gerhardt Montpellier (ICGM) (Université de Montpellier / CNRS/ ENSC Montpellier)

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